C'est bon j'abandonne...Encore que , peut-être, un jour...

Raté, faudra réessayer...

C'est bon. Je rectifie donc :

9266. Qui dit mieux ?

J'ai trouvé ! Ouais ! C'est vachement bien... Je disais donc :

Vous me croyez maintenant ?

Mon chaton est monté à 235 ! Je peux le prouver mais j'attends de savoir convertir les fichiers image...

Ou alors si c'est mieux :

Voilà...

Très intéressant...
D'autant plus que l'oeil du spectateur est d'abord attiré par le premier plan ou sont souvent des personnages et essaie de décrypter leur action, sauf dans le cas peu féquent où la majorité de l'image bien qu'éloignée dans la perspective accapare l'attention, mais dans les autres cas nous analysons son action ainsi que ses effets, cependant, et c'est là toute la source de l'effet produit, l'action peut soit agir sur un plan extérieur auquel cas on cherche à décomposer l'image en couches, soit agir en circuit fermé sur le personnage de façon impossible pratiquement, auquel cas il faut reconnaître dans l'oeuvre une illusion d'optique, ce qui montre que la perception, l'apparence sensible peut tromper nos yeux et dérouter notre esprit, et c'est là le but de l'artiste car il y a sûrement un semblant de psychologie là-dedans, de sorte que le créateur joue avec nous, sans agressivité bien sûr, mais avec un plaisir malicieux qui nous ravit au final, non ?
Bref, c'est trop de la balle ce truc.

Mais CA c'est incroyable !
Comme quoi la modulation de l'inspiration, dans le but d'insérer une évolution logique ou un changement radical, à l'aide de détails progressifs, peut faire ressortir la curiosité du spectateur, une attente, un jeu peut-être, tout en jouant sur ses émotions profondes, ses désirs refoulés, son émerveillement enfin, tant sur le plan de la beauté que sur la technique elle-même de l'artiste, qui, selon mon opinion, sait véritablement manier les couleurs, les ombres, les formes et probablement y a-t-il un semblant de psychologie là-dedans, mais cela je le reconnais est très discutable, contrairement à l'opinion commune qui correspond bien évidemment à l'étonnement que je trouve normal, comme ce dernier l'est devant une oeuvre musicale dont les variations évoqueraient ce changement auquel nous tendons tous dans la vie, non ?
Enfin bref, c'est trop de la balle ce truc.